dimanche 18 mars 2007

Identité nationale




Nicolas Sarkozy a été l'objet d'assauts délirants venus de tous les partis (PS, PC..) et des associations de gauche diverses et variées. Sans aucun argument, sans savoir, sans comprendre, sans rien demander, ceux qui s'appliquent depuis des décennies à effacer les traces de l'identité nationale ont stigmatisés les propos du ministre de l'intérieur.


"Le dégoût, la nausée, l'ignoble, la honte..."


Ca, c'est l'indentité nationale pour la gauche.. Sans que Sarkozy n'ait expliqué quoi que ce soit. Alors les biens pensants socialistes de rétorquer: Mais c'est parce que Sarkozy mélange cela (tout ce qu'ils abhorrent) avec l'immigration. Aucun lien, nous dit on. Les immigrés resteront immigrés alors? Pas question!


Concernant la "problématique centrale" à la base de tout dans notre société, on constate avec horreur les ambitions avouées du PS. Faire disparaître l'état nation, et tout ce qui va avec. Ils ont déjà bien commencé le travail, aidés par un Chirac qui allait quasiment dans leur sens.. Or, cela, maintenant, c'est impossible. La France doit rester la France, et elle ne peut être sans grandeur, sans fierté. En France, on assiste à la crise politique, à la crise de représentation, à la crise de tout. Nos élites font elles semblant de ne pas comprendre que tout cela résulte essentielement du fait de l'oubli et de l'abandon de notre "problématique centrale"?


Précisions récentes de Sarkozy:

"Si on ne dit pas à ceux qui vont nous rejoindre "voilà l’identité que vous allez épouser, apportez votre identité mais il y a un socle sur lequel on ne négociera pas", alors on se trompe".


C'est le bon sens même. Qui y a t il de choquant là dedans? La gauche n'y voit pas le communautarisme nécessaire, pour balkaniser et faire disparaitre la France dans une mondialisation sordide, ou nous avons tout à perdre?


Le ministre de l'intérieur à le courage de remettre le plus important au centre de sa campagne, malgré le déversement continu d'inepties venants de ses adversaires (ceux qui pensent qu'on peut être fier -Pride- de son appartenance sexuelle, mais surtout pas de son pays).

Mais il faudra aller plus loin encore que M. Sarkozy dans ce domaine. Il ne faudra plus à l'avenir se courber devant ceux à qui les mots "nation", "patrie" et "fierté" donnent des boutons. Le Pen, qui parle sans entrave, depuis ses terres natales, à donné hier une leçon d'identité nationale, que beaucoup feraient mieux de méditer.


"La nation, ce n'est pas simplement une envie d'être ensemble, c'est aussi un sentiment d'appartenance, d'intérêt commun, de risque partagé. La nationalité, ça s'hérite ou ça se mérite, auquel cas il doit y avoir un échange de volonté, un peu comme dans le mariage".
Que veut précisément Sarkozy: "S'agit-il de donner le droit de vote aux immigrés ?, de promouvoir une immigration choisie ?, de régulariser les clandestins ?, de favoriser la construction de mosquées et la formation d'imams ?"
Pour Le Pen, Le prédident "n'est pas un fonctionnaire élu pour cinq ans" mais "l'incarnation de la Nation française, l'incarnation du peuple français".


Maintenant le peuple se rend compte de tout cela. Il lui manque quelque chose, et il va le reprendre. C'est cette prise de conscience populaire qui sonnera la fin du système actuel, tourné vers le mondialisme. L'effondrement de la gauche, la puissance du FN et le virage à droite de l'UMP en témoignent.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu dis la, je dirais que c'est le bon sens même!

Anonyme a dit…

Oua c'est trop vrai